• La mort est d’abord une affaire de perception.  
  • Il n’y a pas de violence faite à l’autre qui ne soit à terme une violence faite à soi.  
  • Orienter différemment nos certitudes.   
  • Plonger dans un lent processus de prise de conscience et décider de se donner une nouvelle chance.  
  • Le confort est la mort de l’âme qui est par nature interrogatrice, insistante, qui cherche à grandir.  C’est le manque qui nous permet d’avancer.  
  • Non pas des diminutions, des affaissements, des restrictions, des privations mais bien plutôt des gestes de don, d’offre, d’accueil et de vitalité.  
  • Il faudrait maintenant une parole politique apaisante, arrêter de souffler sur les braises en apôtres de la guerre civile.    
  • Cette prison de peurs dans laquelle nous sommes.  Toutes ces narrations de nous-même dans lesquelles nous nous piégeons.   
  • L’obsession des humains à se soumettre à leur désir.    
  • Faire surgir de la tendresse à des endroits totalement inattendus, franchir la nuit.    
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