Vivre, ce n’est pas survivre.
Un manifeste pour une nouvelle allégresse.
Un nouveau principe d’espérance.
L’identité donnée c’est une chose mais l’identité « atteinte », qui ne tient que par des singularités conquises, c’est tellement plus vaste.
De la chute quelque chose renaît, vertical.
Accéder à une présence charnelle tremblée.
Quand le corps est autre, la voix est autre.
Trouver la délicatesse dans l’affirmation.
A la vulgarité, opposer la quête du sacré.
Quand on parle de sexualité, on parle de son rapport à soi.
La fluidité du vivant.
Ce qui est émouvant c’est la singularité d’un corps.
Avoir le goût de l’absolu et le goût de l’infini, atteindre l’inatteignable, changer d’être par la lumière. Claude Régy